Base de données des 3 700 croix ou calvaires de bretagne
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Statistiques
Par villes - Par type de croix
Il y a actuellement 3765 croix et calvaires en Bretagne
Nous avons trouvé 26 croix ou calvaire
ou calvaires
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Croix de la Ville Hello
Croix Emmarchement 2 degrés en façade; base moulurée à l'arête supérieure chanfreinée; socle au profil composé de diverses moulures, inscription gravée en façade: VIVE JESUS VIVE SA CROIX (gravée en arc de cercle), le reste des inscriptions est illisible. Croix monolithe ancrée, évasée à la base. 19ème s.
La Ville Hello Intersection du Teneu et de la ville Hello 56800 Guillac |
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Croix de la Ville Houet
Croix de chemin Soubassement en maçonnerie de moellons ; socle monolithe, inscription en partie illisible, gravée en façade: P.P JAC(?) MAINGY 18.. (?); croix latine chanfreinée, fût rapporté. 19ème s.
Croix de la Ville d'Houet Le long de la D169 56800 Guillac |
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Croix de la Ville Meno
Croix de chemin Soubassement en maçonnerie de schiste, couronnement en dalles de schiste; socle monolithe en granit, fût monolithe chanfreiné (postérieur à la croix); croix à fronton en bâtière, Christ en croix en façade, Vierge à l'enfant au revers. 15ème s.
La Ville Meno 56800 Guillac |
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Croix de Teneu
Croix Soubassement en une assise en pierre de taille, couronnement monolithe mouluré et à pans; socle monolithe; Croix monolithe à base moulurée, aux branches épointés. 20ème s.
Teneu 56800 Guillac |
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Croix des Anglais
Croix Croix celtique taillée dans un bloc de granit; date gravée sur la traverse: 1351 - 1951. Croix sculptée par M.GUILLARd (marbrier à Josselin) en 1951 à l'occasion du 6ème centenaire du combat des Trente sur un socle d'une ancienne croix dite des Anglais, mémorisant lÂensevelissement des anlgo-saxons. 20ème s.
ZA de Beau Soleil 56800 Guillac |
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Croix des Cours Hello
Croix Soubassement en appareillage en pierre de taille; entablement mouluré en cavet; socle monolithe au profil composé de diverses moulures, inscription gravée en façade:"A Rouxel de Bréhand ses 4 compagnons ici fusillés 11 octobre 1799"; croix monolithe de section ronde. MASSACRE DES CHOUANS DE BREHAND AU PONT DE MI-VOIE. Un événement qui se produisit alors, dans cette dernière région, devait avoir, quelques jours plus tard, sur le territoire de Gutllac, un dénouement tragique. Le 9 octobre 1799, vers midi, à la Touche-dÂen-Haut, en Bréhan-Loudéac, 4 jeunes chouans fuyant devant les Bleus venaient échouer, à bout de souffle, dans la ferme de Pierre Rouxel où l'on était en train de battre le blé noir. Quelques minutes plus tard, 5 gendarmes de Rohan et 15 chasseurs â pied cernaient la maison. Comme les chouans esquissaient un mouvement de défense : "C'est inutile, leur crie-t-on, vous n'avez qu'à déposer les armes, il ne vous sera fait aucun mal. "Les fusils braqués s'abattent et tombent des mains, puis les vaincus, ligotés sous les yeux épouvantés des habitants et des batteurs, la troupe se rue au pillage de la ferme. Rassasiés de butin et de ripailles, les Bleus s'en allaient avec leurs 4 prisonniers quand surgit devant eux Pierre Rouzel qui, attardé dans ses champs, revient avec une charretée de blé noir. -"Qui es-tu ? Est-ce toi le maître de la maison ? - Oui, le le suis... - Alors, tu es une bonne prise." Et sans plus d'explications, on le saisit ,on le pousse, on l'entraîne et, le soir même, les 4 insurgés et Pierre Rouxel étaient écroués à la prison de Rohan. Le lendemain, les 5 prisonniers étaient conduits à Josselin et le surlendemain. 11 oct., ils quittaient cette dernière ville sur le coup de midi, pour être dirigés sur Vannes par Ploërmel. Escorté par 5 gendarmes,15 soldats et 2 chasseurs a cheval, le convoi, suivant la route déserte, venait de dépasser la pyramide et atteignit le pont de Mi-Voie quand l'ordre fut donné de faire halte. Les prisonniers crurent à un moment de repos avant de reprendre la marche vers Ploërnel. Leur méprise fut de courte durée. Sur un ordre bref, les soldats se retirèrent de quelques pas en arrière, épaulèrent leurs fusils : un feu de salve ébranla les échos. Cinq cadavres Jonchèrent la route. Dans un accès de fureur, les Bleus venaient de massacrer les prisonniers confiés à leur garde. Leur rage assouvie, les criminels n'eurent plus qu'une pensée : se débarrasser des corps de leurs victimes. Quelques uns d'entre eux se rendirent alors au village voisin de Brangoyan, et, sous la menace, contraignirent Pierre Trégouët de venir avec sa charrette procéder à l'enlèvement des cadavres. C'est ainsi que le soir même, Pierre Rouxel de Bréhan (34 ans), Marc Barclé de Plumicux (21 ans), Cyprien Raulo de Bréhan (21 ans), Joseph Hautin de Loudéac (22 ans), Guillaume Huet de Plessala (22 ana), étaient inhumés dans la même fosse, dans un coin de notre vieux cimetière, sans croix ni inscription sur leur tombe (11 oct.99) Ce quintuple assassinat, il n'y a pas d'autre mot pour qualifier un pareil acte, avait pourtant fait du bruit. L'administration départementale elle-même «'émut, des enquêtes furent ouvertes. Les chefs du détachement interrogés arguèrent, pour leur défense, qu'ils avaient été réduits à cette extrémité pour empêcher les prisonniers d'être enlevés par une bande de chouans survenus à 1'improviste. Les témoignages recueillis, notamment ceux de Michel Lalys et de Mathurin Gicquel qui, travaillant dans un champ voisin, avaient vu tout le drame, réduisirent à néant tous les moyens de défense invoqués. Aucun chouan n'avait paru sur les lieux. Les Bleus avaient tué pour le plaisir de tuer. L'administration républicaine elle-même ne s'y trompa pas. Elle blâma sévèrement les criminels, mais se borna à un blâme. 19ème s.
Les Cours Hello Carrefour de la D724 et la D169 56800 Guillac |
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Croix du Cimetière
Croix de cimetière Sur un monticule en pierres de quartz maçonnées au ciment, croix monolithe pattée. "Croix située à l'origine dans l'ancien cimetière, à coté de l'église, au niveau du transept nord. Elle fut transférée à l'emplacement actuel lors de la création du nouveau cimetière en 1925. Le piédestal est constitué de différentes pierres amenées par les habitants des différents villages de la communs". Moyen âge
Le Bourg Cimetière, rue Beaumanoir. 56800 Guillac |
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Croix du Hambot
Croix de chemin Croix disparue. Décrite comme telle, dans un ouvrage de Pierre BOUIX, ancien maire de Guillac, écrit en 1931. "D'un piédestal, fait d'un unique bloc de pierre assez fruste, jaillit, ronde, svelte, élégante, une croix monolithe de plus de 2 mètres de hauteur,portant en saillie, de la base au croisillon quatre rangées de feuilles d'acanthe. Au croisillon, d'un côté le Christ et de l'autre la Vierge et l'enfant. Sur la face ouest, au-dessous des pieds du Christ, un écusson comportant trois fleurs de lys, 2 en haut, 1 en bas, séparées par un sujet où l'on croit reconnaître un oiseau à long bec (bécasse, cigogne, corbeau ?), puis immédiatement au- dessous de l'écu, 5 trous creusés dans la pierre et disposés en croix, symboles des 5 plaies de Notre Seigneur Jésus Christ. De cette croix, il ne reste aujourd'hui que le socle. Accidentellement brisée et renversée, les gens du quartier s'apprêtaient à la relever, lorsqu'un jour, c'était en 1968, elle disparut soudainement, audacieusement volée, à l'heure de midi." "Un trésor serait enfoui sous son piédestal qui fit à travers les temps l'objet de bien des convoitises. Sans respect des choses saintes, au risque de briser' la croix dans leur entreprise téméraire, plusieurs n'hésitèrent pas à fouiller le sol à différentes reprises pour satisfaire leur esprit de cupidité. Certains même, dit-on, aperçurent le jable du tonneau contenant le précieux butin, mais aucun n'alla plus avant. A cet endroit de leurs fouilles, tous les chercheurs furent mis en fuite par l'apparition soudaine d'un dragon vomissant feu et flamme. Si bien que le trésor est toujours resté inviolé. Comme si ce n'était pas assez de la présence du dragon, la Révolution est venu jeter son voile ligubre sur ce sinistre ravin. Depuis cette époque,en effet, planent toujours sur le bois voisin du Coudray les ombres tragiques de la Hédanne et du Vignol. Remplissant les échos de leurs gémissements et de leurs lamentations, des spectres errent la nuit autour de la croix qui ne sont autres que ceux des meurtriers implorant le pardon de leurs crimes."
Cette croix était proche de la grotte/croix actuelle de la Rivière-de-Bas, de l'autre côté de la route. 56800 Guillac |
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Croix du Stade
Croix de chemin Emmarchement 3 degrés dont 2 en façade; double socles monolithe, socle supérieur chanfreiné sur l'arête supérieure, dates, gravée l'une sur l'autre, en façade: 1663 1880. Inscription en partie illisible gravée à l'opposé: FAIT.PAR.MAT HURIN.(....?) EN 181. (?). Croix monolithe au contours moulurés en demi-rond, monogramme IHS gravée en façade sur la traverse. 17ème s.
Carrefour de la D169 et la route vers Sabraham. 56800 Guillac |
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Croix Le Temple
Croix de chemin Au pied d'un if, ensemble remonté. Soubassement en appareillage en pierre de taille sur base en maçonnerie de moellons, inscription gravée sur une pierre de la première assise du socle (probablement un élément de réemploi): ET PAR PIER MATHURIN (la troisième ligne est illisible). Corniche mouluré; socle monolithe, chanfreiné sur l'arête supérieure, date gravée: 1715 en façade (oust), date gravée à lÂopposé: 1801, inscription quasi illisible sur le coté sud. Croix latine de section carrée, moulure demi-ronde sur le pourtour, ergots en partie supérieure du fût. 18ème s.
Le Temple 56800 Guillac |
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Croix Mainguy
Croix Soubassement en maçonnerie de pierre de taille et de moellons; couronnement en dalles de granit, date quasi illisible en sur le chant en façade (est); socle monolithe à pans; croix monolithe de section ronde à base octogonale. 19ème s.
Blond A l'entrée du village en venant du bourg. 56800 Guillac |
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